Candide De Voltaire Et Le Siècle Des Lumières


  • Department: French
  • Project ID: FRE0016
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INTRODUCTION
Dans cette introduction  nous allons dire pourquoi nous avons choisi ‘Candide et le siècle des lumières comme sujet de notre mémoire. Après nous allons étudier dans le premier chapitre Voltaire et son œuvre et faire le résumé de cet ouvrage. Dans le deuxième chapitre nous allons étudier le siècle des lumières. Nous allons faire un bref aperçu du 18e siècle, nous allons étudier aussi le concept de la philosophie au 18e siècle et la littérature et sa préoccupation au 18e siècle. Dans le troisième chapitre, nous allons faire la relation entre Candide et le siècle des lumières, nous allons étudier aussi Candide comme une œuvre satirique et finalement la vraisemblance dans Candide.
Notre conclusion portera sur nos  propres remarques surtout sur le récit et sur le siècle des lumières. Comme nous avons dit au début, voici pourquoi nous avons choisi le sujet : Candide et le siècle des lumières.
La littérature française est une littérature propre et particulièrement aux Français. Les Français du 18e siècle avaient une littérature qui traitait tous les maux de la société française, ce siècle fut également un siècle pendant lequel plusieurs voyages 
furent effectués et des découvertes faites par des philosophes de renom. Ce siècle qui est autrement connu comme le siècle des lumières provoque radicalement plusieurs changements dans la société française. Au 18e siècle, il y avait beaucoup de philosophes qui croyaient à la faculté rationnelle.
Ils ont totalement refuse tous les principes des écrivains du 17e siècle. Ainsi, dans ce siècle, Voltaire romancier, philosophe français, écrit une œuvre intitulé Candide, pour dénoncer les problèmes de la société française tout en touchant le monde entier.
Ce roman nous a intéressé parce que c’est un roman philosophique qui nous donne beaucoup de leçons sur la vie en général, sur l’aventure, les risques de ce monde, l’inconnu ou nous sommes, des possibilités qui peuvent arriver à un homme, à une femme et même à un peuple au cours de sa vie et de son histoire. Comme l’avenir est inconnu, l’homme vit au gré de ce qui lui arrive et de ce qui lui apporte la nature. D’après le philosophe Pangloss, tout ce qui arrive à un homme est pour son bien. Il croit que le meilleur prépare la voie au bien et que dans le monde tout est prédestiné pour un but spécifique que le Bon Dieu veut faire subir l’homme. Il est vrai que Candide est un roman philosophique et il est plein de bonnes 
leçons pour tous les hommes et femmes parce qu’il leur apprend à vivre et à se préparer à toute sorte de problèmes parce que les problèmes sont naturels.
Ce roman nous apprend à être patient, à endurer, à préserver et à accepter avec courage tout ce qui nous arrive parce que tout est pour notre bien.
Candide nous étale d’une manière ou d’une autre tout se qui s’est  passé pendant le siècle des lumières. De ce fait, pour la suite de notre travail, nous montrerons les éléments qui nous disons que Candide est la réflexion du siècle des lumières.
Nous allons donc commencer avec le premier chapitre qui est consacré à Voltaire, sa vie et son œuvre.

TABLE DES MATIERES
Candide de Voltaire et le siècle des lumières
Approbation…………………………………………………………………….ii
Dédicace..………………………………………………………………………iii
Remerciement…………………………………………………………………iv
Table des matières……………………………………………………………vi
INTRODUCTION……………………………………………………………….1

CHAPITRE I : PRESENTATION DE VOLTAIRE
1.1 La vie de Voltaire…………………………………………………….4
1.2 La philosophie de Voltaire………………………………………….7
1.3 L’œuvre de Voltaire……………………………………………………9
1.4 Résumé de Candide…………………..……………………………..12

CHAPITRE II : UN BREF APERCU DU SIECLE DES LUMIERE
2.1 L’ histoire générale du XVIIIe siècle……………………….……….17
2.2 Le XVIIIe siècle comme un âge des lumières.……….…………..23
2.3 Le concept de la philosophie au 18e siècle……………………….26
2.3.1. L’esprit d’examen……………………………………………………27
2.3.2 L’esprit scientifique……………………………………..………….27
2.3.3. L’esprit cosmopolite………………………………………………..27
2.3.4. L’esprit de renouvellement de la littérature………………….27
2.4 La littérature et sa préoccupation au 18e siècle………………..28

CHAPITRE III : CANDIDE DANS LE SIECLE DES LUMIERES
3.1 Relation entre Candide et le siècle des lumières……………….36
3.2 Candide comme une œuvre satirique……………………………..40
3.3 La vraisemblance dans Candide……………………………………47
CONCLUSION………………………………………………………………..52
REFERENCES……………………………………………………………….54
BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………5

PRÉSENTATION DE VOLTAIRE
Le vrai nom de Voltaire est François Marie Arouet. Originaire d’un milieu bourgeois, né le 21 novembre 1694, à Paris où il meurt le 30 mai 1778, il est un écrivain et philosophe qui à marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des français : dramaturge, polémiste, satirique, philosophe, historien et moraliste. François Marie Arouet était fils de Notaire.
De 9 à 17 ans, il faisait de brillantes études chez les jésuites de Louis-le Grand. Quand il est quitté, son père lui trouva une place dans un cabinet d’avocats, mais Voltaire désirait se consacrer à la littérature. Il faisait la majeure partie son temps dans les salons et devint l’animateur de la société parisienne.
Au XVIIIe siècle, à une époque où la culture française, son œuvre comprend un vaste ensemble d’écrits dans tous les grandes littéraires, dans les pièces de théâtre, des dialogues, des ouvrages historiques, des romans et des contes, des vers de la poésie épique, des essais, des articles scientifiques et culturels, des pamphlets, de la critique littéraire et plus de 2000 lettres. Vécut  jusqu'à l’âge de 

80ans, il choisi la carrière des lettres contre la volonté de son père, qui disait qu’il en soit, à l’époque où il avait une quarantaine d’années, Voltaire était à la fois un écrivain renomme et un homme riche.
Symbole des lumières, chef de file du parti philosophiques, son nom reste attaché à son combat contre ‘l’infâme’.
Il invente en 1759 le slogan ‘écrasons l’infâme’ par lequel il termine ses lettres à ses intimes noms qu’il donne au fanatisme religieux. Dans ce contexte, son grand ennemi est la religion chrétienne et l’Eglise Catholique de son temps. Ses adversaires l’accuseront de saper les bases de la religion et par la même de la monarchie et de favoriser la déprivation des mœurs. Après  de 70 ans, exilé loin de Paris dans son château de Ferney. Il prend seul la défense des victimes de l’intolérance religieuse et de l’arbitraire dans les affaires qu’il a rendues célèbres (calas, Sirven, chevalier de la barre, comte de Lally) et met son immense notoriété auprès des éclairées de l’Europe des lumières à leur service. C’est ce Voltaire là, l’homme aux calas, le don Quichotte des malheureux que le peuple de Paris Ovationne, à son retour dans la capitale en 1778. Il inaugure ainsi la figure de l’intellectuel engagé dans une philosophie réformatrice de la justice et de la société.
De retour en France, Voltaire poursuivit sa carrière littéraire avec pour objectif la recherche de la vérité et de la faire connaître pour transformer la société. A Cirey, en Lorraine, il écrit des tragédies (« Zaïre, la morte de César »…) et avec moins de succès, des comédies (« Nanine »). Il critique la guerre dans « l’Histoire de Charles XVII » (1731)  puis s’en prend aux dogmes chrétiens dans « Epitre à Uoanie » (1733)  et au régime politique en France, basé sur le droit divin, dans « Lettres philosophiques » (1734). Des poèmes officiels lui permettent d’entrer à l’académie Française et à la cour comme historiographie du roi en 1746. Cependant « Zadig » l’oblige à s’exiler à Postdam sur l’invitation de Fréderic II de Prusse, puis à Genève. Voltaire s’installe définitivement à Ferney, près de la frontière Suisse, où il reçoit toute l’élite intellectuelle de l’époque. En 1759, il publie Candide, l’une des œuvres romantiques les plus célèbres et les plus achevées. S’indignant devant l’intolérance, les guerres et les injustices qui pressent sur l’humanité, il a dénoncé la pensée providentialiste et la métaphysique oiseuse. En 1778, il 
retourne enfin à Paris, à l’académie et à la comédie française, mais épuisé par son triomphe, il meurt peu de temps après.

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